Matrice Dream RPG
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Matrice Dream RPG

Matrice - Cage dorée dont personne ne sort -ou presque. Parviendrez-vous à vous échapper ?
 
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 Abril L. Scott.

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L. Scott Abril

L. Scott Abril


Messages : 1
Date d'inscription : 13/04/2011

Abril L. Scott. Empty
MessageSujet: Abril L. Scott.   Abril L. Scott. EmptyMer 13 Avr - 20:29


Personnage.
Nom : L. Scott
Prénom : Abril.
Age : bientôt 14 ans.
Date de naissance : 7 mai 1997.
Nationalité : Irlandaise.

Histoire
Abril est née dans une maison de
campagne, située à quelques kilomètre de la petite ville de
Kiltimagh, en Irlande. Depuis toute petite, elle aimait à marcher
dans la nature, au milieu des herbes hautes, des insectes et des
arbres. S’étendre dans un champs de blé n'est-il pas la plus
belle chose au monde ? Rêvasser des heures durant au soleil en
contemplant le ciel, découvrir ce qui se cache dans la forme des
nuages... Une occupation qui peut durer très longtemps. Et
l'Irlande, les jours où il fait beau, est un pays vert et
merveilleux. C'était un chaud après-midi d'été, le jour où tout
commença.

Il y a des légendes qui circulent
dans le pays sur la présence dans les campagnes, les champs, près
des rivières des leprechauns, ces lutins malicieux. Y croire, ne pas
y croire ? Abril aimait le rêve, elle y crut. Elle était partie ce
matin-là avec dans son sac du porridge dans un Tupperware™
et des « Scotch Pancakes », des galettes irlandaises. Elle avait
marché quelques heures à travers la forêt et poru finir avait posé
son sac par terre, dans une clairière, puis c'était installée au
pied d'un arbre pour faire une pose. Les oiseaux chantaient ; elle
s’endormit immédiatement.

Lorsqu'elle se réveilla, il était
près de midi, peut-être treize heures, et elle avait faim. Elle se
redressa et, assise sur une racine, entreprit de faire un feu de
camp. Ses parents n'étaient pas au courant pour les allumettes, mais
elle n'était plus une enfant, elle pouvait bien faire cuire son
déjeuner. Elle huma l'air avec satisfaction : il faisait bon et
elle entendait les craquement des pattes des animaux qui courraient
dans les sous-bois. Elle ouvrit la boîte contenant le porridge et
versa son contenu dans une assiette de fer qu'elle avait subtilisée
chez elle. Elle commença à faire réchauffer le porridge, sentant
avec plaisir l'odeur de la nourriture qui se répandait. Une sorte de
chien, ou de renard, plutôt petit sorti des feuillages avec méfiance
et s'approcha. Elle lui sourit aimablement et remua son plat de sa
fourchette. La bête arriva lentement et vint se faire caresser. Les
animaux avaient toujours aimé Abril, et Abril avait toujours aimé
les animaux. Elle flatta l'échine de l'espèce de chien roux en
reposant sa tête contre l'écorce de l'arbre. Elle ferma les yeux
tout en passant avec lenteur sa main sur le dos de la bête. Quand
elle l'entendit pousser un petit gémissement, elle les rouvrit et ce
qu'elle vit la stupéfia. Devant elle se tenait un homme roux, vêtu
de sombre, plutôt grand et jeune. Elle lui adressa un sourire
timide, auquel il répondit à peine, et il s'installa à côté
d'elle. Abril n'osa rien dire. Ils restèrent là, dans un silence
gêné, durant quelques minutes, puis il tourna la tête vers la
jeune fille et lui dit :

« Excuse-moi, je sais qu'on ne se
connaît pas, mais j'ai vraiment faim, et... »

Elle comprit dans sa petite hésitation
et prit l'assiette, dont elle versa la moitié du contenu dans le
Tupperware, qu'elle lui tendit. Ils se sourirent, puis, après un
instant d'hésitation, commencèrent à manger. Une demi-heure plus
tard, il était engagé dans une conversation animée, consommant les
Scotch Pancakes comme deux vieux amis.

Ce fut plus tard, lorsqu'ils furent
tout deux fatiguée, qu'elle se laissa aller contre le tronc de
l'arbre et s'endormit. Elle fit un rêve dont elle ne se souvint plus
à son réveil, mais qui était merveilleux. En s'éveillant, elle
constata que l'homme n'était plus là. Mais ses affaires avaient été
rangées, et, posée sur ses genoux, il y avait une petite bourse de
cuire.


Le lendemain, il pleuvait. Si fort
qu'Abril ne pouvait même pas envisager de sortir. Alanguie à sa
fenêtre, elle contemplait l’extérieur, une pochette de cuir dans
la main. Sa chambre sous les combles était son refuge secret, et
elle aimait y passer des heures sur son bureau, éclairée pas sa
petite lampe, à dessiner. Les boiseries sentaient les arbres
centenaires, et il faisait chaud. Dans la petite pièce chaleureuse,
elle regardait dans le petit sac. Il contenait des petites billes
jaune doré. Elle ne savait pas vraiment de quoi il s'agissait, mais
elles avaient une odeur de vanille et un toucher agréable. Elle
passait des heures à les caresser pensivement.

Les années passèrent et elle ne
revit plus le jeune homme. Mais quelque chose la faisait réfléchir
: un homme roux, dans une forêt habituellement vide, qui surgit d'un
coup et prétend avoir faim. Il disparaît sans laisser de traces, et
offre un cadeau mystérieux... Y avait-il une possibilités qu'il
s'agisse d'un leprechaun ? Alors, dès qu'il faisait beau, elle
allait dans la petite clairière et elle faisait cuire du porridge.
Mais elle ne revit pas son étrange compagnon. Au fil du temps, elle
l'oublia presque, du moins ne pensa-elle plus à lui, se contentant
d'accomplir son étrange rituel dès les premiers jours du printemps.
Mais c'était déjà comme si elle n'attendait plus personne, et le
porridge n'avait plus le goût de son enfance, le feu avait été
remplacé par un chauffe-plat de camping et elle finissait
entièrement le plat, oubliant d'en garder une moitié de côté...
Elle avait grandi.

Et puis, un jour d'automne, alors que
les premières feuilles tombaient déjà, et qu'elle regardait
pensivement le ciel devant un porridge qui cuisait, un renard –
elle voyait bien à présent qu'il s'agissait d'un renard – vint
s'installer sur ses genoux en attente d'une caresse. Il était vieux,
fatigué, et son pelage blanchissait, mais lorsqu'elle ferma les
yeux, il poussa le même couinement réjoui, et il y avait un homme
devant elle.

« Excuse-moi, tu m'as peut-être
oublié, mais vois-tu, autrefois on s'était connu, et comme
auparavant, j'ai vraiment faim... »

Avec ravissement, elle réparti le
porridge chaud en deux portions et lui en offrit une. Ils s'assirent
l'un à côté de l'autre, mais ne parlèrent pas, et au bout de
quelques heures de silence, tous deux regardant la voûte céleste,
elle s'endormit.

Quand elle se réveilla, il n'y avait
plus personne, mais elle n'était pas au pied d'un arbre. Elle était simplement assise dans un wagon de train.


Personnalité
Abril est rêveuse, habituellement peu
intéressée par les contacts humains. Elle paraît distante, même
froide, mais ce n'est que le reflet de sa personnalité : elle pense
souvent à autre chose. Aimait l'instruction, elle peut passer des
heures à lire et suit la plupart du temps les cours. Toutefois, il
lui arrive de songer à partir de la classe et à aller dans un
endroit un peu plus ensoleillé, plus vert et parfumé. Elle boit
sans cesse de l'eau : c'est un de ses grands principes, « une bonne
hydratation est nécessaire ». Elle mange souvent toute seule, dans
la nature, et si elle va dans un self, elle s'éloigne souvent des
gens pour s'isoler à une table et consommer en silence son repas.
Outre les champs et autres clairières de forêt, son lieu de
prédilection est la bibliothèque. Elle y passerait des heures.
D'ailleurs elle le fait. Lire des romans la plonge dans une sorte de
transe imperceptible. Elle a juste l'air concentrée sur son
histoire, mais quand on lui parle, elle ne répond pas, n'entend même
pas... Elle dessine, sinon. C'est une de ses grandes passions.
Penchée sur une table, ou simplement un cahier posé sur les genoux,
elle trace longuement des traits au crayon de bois. Elle possède
toute une galerie de personnages qui se répètent et à qui elle a
donné un caractère bien précis. Outre cela, elle écoute beaucoup
de musique, mais peu de choses lui plaisent : ses goûts sont assez
sélectifs. Quand elle n'aime pas quelque chose, elle ne peut pas
supporter de l'écouter, cela la met dans une mauvaise humeur
incroyable. Mais quand elle rencontre un fan d'un groupe ou chanteur
qu'elle admire, elle paraît soudain sociable à souhait. C'est en
fait ainsi qu'elle se fait des amis. Un grand classique dans ses
relations est « Quelle musique aimes-tu ? », phrase avec laquelle
elle juge si la personne est digne ou nom d'attention, voir
d'affection. Ainsi, les gens écoutant du rap, aussi intelligent,
géniaux et sympathiques seront-ils, n'auront pour elle que bien peu
d'intérêt. Son lecteur CD, rangé dans sa sacoche, contient en
grande majorité du rock et du métal, ce qu'on ne soupçonne pas en
la voyant. Même si son caractère n'est pas très attirant, elle a
toujours eu des gens autour d'elle, car elle était un peu comme une
chose inaccessible: au premier abord, les gens étaient intrigués
par cette beauté muette et apparemment sans charmes, qui les
fascinait un peu, et surtout les intriguaient. Mais que faisait-elle
là, toute seule, à lire un livre avec son casque sur les oreilles ?
Évidemment, les personnes partaient bien vite, car elle n'avait pas
grand intérêt... Mais elle n'était tout de même jamais tout à
fait seule.


Physique
Abril est petite, fine et androgyne.
Ses cheveux sont lisses, noirs et brillants, mi-longs. Ses yeux au
regard rêveur sont d'une teinte sombre. Sa bouche est petite, ses
lèvres pâles, presque autant que son teint d'ivoire. Elle a hérité
de la beauté asiatique de sa mère. De son père, elle tient son nez
recourbé et un peu froncé, et quelques taches de rousseur. Elle a
l'air de ne pas avoir vraiment d'âge : son corps est celui d'une
adulte et son expression celle d'une enfant. Elle a comme manie de
toujours remettre ses cheveux derrière son oreille, petit tic
qu'elle partage avec des centaines d'autres personnes ; et celle,
moins répandue, de frotter la peau sous sa paupière lorsqu'elle est
pensive. Sa voix est faible et lente, aiguë mais plaisante. Elle ne
sourit pas souvent, sauf lorsqu’elle a trouvé un champ, une
prairie, une forêt, bref, tout endroit naturel où se promener
paisiblement. Elle porte toujours avec elle une sacoche de cuir qui
contient toute sortes de choses, plus ou moins utiles : des
allumettes, des biscuits, un mouchoir, de l'argent... Bref, tout et
n'importe quoi. Elle est habillée d'un uniforme d'écolière
anglaise, car telle était la coutume dans la petite école où elle
étudiait, ou parfois un kimono traditionnel. Si elle n'est pas
étendue quelque part au soleil, on la trouvera son délicieux petit
nez plongé dans un roman, lisant avec attention. Elle possède un
vieux lecteur CD sur lequel elle écoute des chansons variées et un
journal dans lequel elle note constamment ses pensées.


______________________________________________________________________

Approfondir le personnage.
Cette
partie est facultative. Elle permet de donner des tics
tacs, habitudes, façons de voir les choses... A votre
personnage. Vous pouvez la remplir, ou non, ou à moitié...


C
omment votre personnage voit-il le pensionnat ?
Elle est particulièrement intéressée par tout ça, mais sa priorité n'est pas d'en sortir. Elle étudie.

Que préfère manger le personnage ?
Du porridge et de la soupe aux légumes. Au niveau sucré, elle aime les crêpes, gaufres et tout dérivés.

Lorsqu'il voit d'autres personnes, comment réagit-il ?
Elle ne s'en occupe pas, ou va se présenter et leur demander quelle musique ils écoutent.

Comment appelle-t-il le pensionnat et/ou les différents lieux qui le composent ?
Elle ne donne pas de surnoms bien distincts, elle abrègent les noms ou les utilise sans modification.
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Abril L. Scott.
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